Ce n'est pas avec des idées qu'on fait des vers, c'est avec des mots
I/ Thèse : poésie=mots
1. Le poète, un artisan dont la matière première est le mot (cf 3e)
2. La musicalité grâce aux figures de style : rythme, assonance, allitération, accumulation, gradation, anaphore (Mignonne allons voir si la rose, Je n’ai plus que les os, la nuit de mai,…), création d’une universalité, des impressions « symbolisme » : le sujet n’est plus qu’un prétexte ? origine : les fleurs du mal, ceux qui l’ont développé : Mallarmé.
3. Les mots, origine de tout : pas de mots, pas de langage, pas de communication, pas de littérature mais surtout la poésie s’attache à la façon de dire. Rejet des poètes engagés, Parnasse, Mallermé, art pour art
II/Antithèse : les idées
1 Le poète engagé : Prévert, Hugo,…
2 Le lyrisme, expression des sentiments : romantisme 18e, …
3 Poésie doit avoir un sens et les idées donnent le sens, sans sens pas de poésie, idée=essence de toute communication, remise en question de ce principe au 20e avec l’après guerre et le théâtre de l’absurde
III/ Synthèse : les mots au service des idées
1. Quand les mots matérialisent le sens ou l’idée
2. La poésie= idée, mots, mais aussi « forme » : définition poésie, forme fixe, alexandrins, poésie libre
3. Le jeu sur les mots permet de créer des ambiguïtés, des implicites et demande au lecteur une attention particulière ce qui crée tout l’intérêt de la poésie : un échange entre poète et lecteur. Idées et mots s’unissent pour faire un poème mais il faut le