Charles baudelaire - les fleurs du mal - spleen lxxv
I. .situation
Premier des 4 spleen Extrait de Spleen et Idéal
Splen en Grec: rate (foie) : anciennes croyances selon lesquelles la mélancholie provient de la sécrétion de bile noire, par la rate. P. Baudelaire, Spleen est une aliénation du poète dans son propre génie
II. Introduction
Forme stricte (au contraire des autres “spleen”)
Déscription de l’envirronemet mais aussi utilisation de la première personne
Tout est hanté par le mal d’etre:
Explication linéaire
III. Etude
1. Premier Quatrain
Description de la ville
· Pluviôse mois hivernal du calendrier révolutionnaire diérèse: lourdeur: évoque donc à la fois pluie, froid et révolution à mort ce mot, personnifié, est “irrité” contre la ville : vengeance, punition de « Pluviose » sur la ville
· La ville sentiment d’angoisse qui vient de conscience de “mortalité” devient une sensation physique de humidité et de froid mortalité emphatisé par “urne” (=cendres des morts) et “cimetière” : la ville entière semble morte
Le monde est ni vivant ni mort, environnement du Spleen, inquiétude dans la description d’un peuple qui meurt
2. Deuxième Quatrain
Description de chat / de lui-même
· Atmosphère meme atmosphère de froid et d’humidité mais ajout de l’idée de l’eau comme morbide: “chat galeux” idée de la lourdeur de la diérèse poursuivie par “erre” et “sans repos”
· Le chat et le poète similitude “gouttière” et “litière” rapproche l’image du chat à celle de l’ame du poète: chat devient symbole du poète en proie au spleen: maladie, errance, sans repos, incapacité è Le poète en proie au Spleen prend le pitoyable aspect d’un chat malade, qui rend l’idée de l’incapacité du poète à sortir de cette condition
3. Premier Tercet
Descriptions d’objets
· Caractère morbide des objets caractérisation des objets montre caractère morbide de l’atmosphère: “pendule enrhumée”: qui donne le mauvais temps: sens du temps est aussi malade ici: