Baudelaire
Aussi pour Baudelaire la mort est l’extreme solution, la dernier espoir de l’homme pour la libération de l’Ennui, du Spleen.
Cette question est développeé dans son poème Les Fleurs du Mal, qui a différentes éditions (1855,1857,1861) et il est divisé en six parties qui représentent les étapes du voyage imaginaire du poéte vers mort puor échapper au spleen :
Spleen et Idéal : c’est la parti la plus riche, dans la quelle Baudelaire découvre la dualité de la condition humaine (l’homme aspire à l’absolu mais est incapable de le réaliser ici-bas
Tableaux parisiens : la ville est représentée comme un lieu horrrible et fascinant à la fois, est la premiére étape du voyage du poéte
Le Vin : l’alcool est une première tentative d’évasion
Les Fleurs du mal : à travers l’expérience sexuelle, les amours et les paradis artificiels l’homme cherche à connaitre sa nature veritable
La Revolte : il ne reste que la révolte contre Dieu qui a voulu l’homme dan cette condition et l’invocation à Satan
La Mort : la révolte est inutile et la mort est la fin de la tragédie de l’homme.
Le Spleen pour Baudelaire est une angoisse existentielle, l’incapacité à accepter sa condition, la difficulté a vivre et pour echapper la réalité qui est pouvre et plat il méne un vie non-conformiste, en dandy, en bohémien. Cette attitude estérieure est une forme de révolte contre la sociéré bourgeoise qu’il déteste, une sorte d’affirmation de sa superiorité spirituelle. La création poétique devient une nécessité intérieure, un moyen pour voir clair dan son ame cet analyser son conflit intérieur. Baudelaire fait de da vie une revolte, un exil continu pour tenter d’oublier les limites de sa condition, du confit entre le coeur et la raison, du besoin d’absolu et le sens aigu du néant de son existence.
L’invitation au voyage
Mon enfant, ma sœur, Songe à la douceur
D’aller là-bas vivre ensemble ! Aimer à loisir, Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble !