Le retour au pouvoir de Deng Xiaoping, qu’est officiellement adoptée la politique de « réformes et d’ouverture ». Les trente années qui vont suivre vont être celles de bouleversements profonds des structures économiques et sociales de la Chine qui l’ont recomposé spatialement pour l’amener à devenir une puissance mondialisée admise en 2001 à l’Organisation Mondiale du Commerce. La Chine doit engager une ouverture globale de son marché, et son entrée dans l'OMC apparaît en effet comme un moyen de relancer les réformes qui sont nécessaires à la modernisation de l'économie chinoise. Ce n’est donc qu’à l’orée des années 90 que s’est effectué le tournant déterminant. Affichant des taux de croissance frôlant régulièrement les 10% par an.
Cette ouverture du marché chinois fait alors ressortir des gagnants, à qui profite ce nouveau marché, mais aussi des perdants qui subissent la mondialisation de ce pays.

Le grand bénéficiaire de cette ouverture est la chine, elle a réussi s’imposer sur le commerce international.
La Chine actuellement la 2e puissance mondiale, détient un niveau du commerce extérieur au-dessus de la moyenne mondiale. La Chine est maintenant le plus grand exportateur de marchandises du monde et le deuxième plus grand importateur. Les importations et les exportations de services de la Chine se sont développées de 71,9 milliards de Dollars US en 2001 à 362.4 milliards en 2010. Elle est la Première exportatrice mondial devant l’Allemagne et les Etats Unis ,son exportation de marchandises est désormais présente sur tous les continents. On constate que en 2004 elle était classé numéro 1 en terme d’exportation mondiale du textile qui a valut un chiffre de 194 732 millions de dollars (Annexe 0). La Chine accorde des politiques préférentielles, telles que des exemptions de taxes et des quotas libres, pour faciliter l'accès au marché aux pays les plus pauvres du monde, avec pour résultat que la Chine est devenue le plus grand marché d'exportation pour