Tout d’abord, faire de l’ingérence est de se mêler d’un conflit d’un autre pays sans en avoir l’autorisation et donc, brimer sa souveraineté. Il y a eu beaucoup de forme d’ingérence durant la guerre au Kosovo. Premièrement, la Serbie refuse l'intervention d'un médiateur européen, l'ancien chef du gouvernement espagnol, Felipe Gonzalez, mandaté par l'Organisation pour la sécurité et la Coopération en Europe. Par la suite un embargo de L'ONU est mis sur les armes contre Belgrade. Plus tard, sous la pression américaine, Belgrade propose aux Kosovars un accord intérimaire d'une durée de 3 à 5 ans qui accorderait à la province un certain degré d'auto-administration. Par la suite un embargo de L'ONU, soit les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, la France et l’Italie est mis sur les armes contre Belgrade. La Russie, quant à elle, s’abstient de faire cet embargo. On peut toutefois constater que cela est une forme d’ingérence de la part de l’ONU. Une autre forme d’ingérence est aussi présente, car les américains, hors du conflit, applique une pression afin de changer les choses et se mêlent directement du conflit sans même avoir aucun consentement. De plus depuis 1992, le Canada a fourni 135 million d’aide au développement au Kosovo par l’intermédiaire de l’Agence canadienne de développement international. L’ACDI prévoit supprimer le programme dans les Balkans d’ici 2010.
Texte 1
13/05/2011
UN News Centre
Kosovo Heading Towards Phase of Greater Stability, UN Says Kosovo appears to be heading towards a period of increased political stability that should in turn promoter greater dialogue between representatives of Kosovo and Serbia, a senior United Nations official told the Security Council today. Lamberto Zannier, the Secretary-General’s Special Representative and the head of the UN Interim Administration Mission in Kosovo (UNMIK), presented the latest report on the work of the mission, stressing that further progress in dialogue between Pristina