citoyenneté dans l'antiquité
Plan :
I) Une citoyenneté restreinte
A) Acquisition de la citoyenneté à Athènes Il s’agit d’une citoyenneté non-universelle. La Citoyenneté suppose la liberté excluant de facto les esclaves. Mais ce n’est pas parce qu’on est libre que l’on est citoyens. Les métèques qui pouvaient résider à Athènes depuis longtemps et les personnes libres mais ne pouvait prétendre à la citoyenneté.
Une citoyenneté héréditaire : Est citoyen, l’enfant male en juste noce de deux parents athéniens. Avant, il fallait être né juste d’un père athénien, mais Périclès exige en -441 que la mère soit elle aussi athénienne. On parle alors de droit du sang pour qualifier l’accès à la citoyenneté. Condition d’Age : Il fallait attendre la majorité pour accéder aux assemblées (18ans).
On pouvait acquérir en principe la citoyenneté mais en pratique c’était trop compliqué pour que cela arrive. Il fallait un vote de l’assemblé, possibilité théorique plus que pratique.
La perte de la citoyenneté était possible : L’hypothèse où une personne à commis des crimes graves publics et contre la cité, on considère alors que la personne s’est exclu par son comportement de la cité. La peine Atimie littéralement privé des honneurs de la cité. En temps de guerre : Non-respect de lois constitutionnelles, vol d’un bien public, ou comportement déshonorant. L’individu va perdre l’ensemble de ses droits politiques mais également la perte de la protection juridique accordée à tous les citoyens. La perte des droits pouvait être totale ou partielle. La perte totale avait souvent pour conséquence l’exil.
B) Les prérogatives des citoyens prérogatives politiques du citoyen : gestion des affaires publiques. Les citoyens siégeaient à l’assemblée du peuple, (l’Ecclésia à Athènes) avec la possibilité d’exercer un certain nombre de magistratures. Ils rendaient aussi des jugements quand ils siégeaient au tribunal de l’Héliée. Les institutions