Citoyenneté & démocratie à rome
Caracalla (vers 188/217) : Fils de Septime Sévère et Julia Domna, il naît en Gaule et doit son surnom au manteau gaulois qu’il portait. Il devient empereur en 211 à la mort de son père et fait assassiner son frère avec qui il devait régner. Il est lui-même assassiné à la suite d’un complot. Son règne est essentiellement connu pour l’édit qui porte son nom et donne en 212 la citoyenneté romaine à tous les hommes libres d’Europe.
Droit latin : moins avantageux que le droit romain, il s’applique à certaines cités. IL permet aux anciens magistrats de ces villes et à leurs familles de devenir citoyens romains. Cependant ils continuent à payer l’impôt dû par les non-citoyens.
Périgrins : hommes libres et non-citoyens romains, habitants les cités et les territoires conquis par Rome.
Affranchis : esclaves libérés par leur maître, qui devient leur patron. Ils adoptent son nom et lui restent liés par certaines obligations.
Romanisation : influence exercée par Rome dans la vie politique et culturelle des peuples qu’elle a conquis.
Légions : cités composées de citoyens romains volontaires accomplissant un service militaire d’au moins 20 ans.
Cursus honorum : ordre des magistratures qu’un chevalier ou un sénateur peut accomplir successivement au cours de sa carrière, selon son âge et ses compétences.
-27 à 14 : Auguste
41 à 54 : Claude
48 : discours de Claude
212 : édit de Caracalla
Ordre sénatorial : groupe social formé par les familles dont le patrimoine est