Cette description réaliste a un point de vu interne puisque à la ligne 15 « Maxime montra (quelque chose) à Renée » ceci dis on ne peut déterminer qui dès des hommes est l’observateur : Maxime ? Renée ? Ou les 2 ? Dans tous les cas nous savons que les deux compères sont en hauteur. Grâce aux indicateurs de lieu comme « en bas », « en face d’eux » ou encore « aux deux bords de cette bande obscure », nous savons que le regard du spectateur se déplace pour une description détaillé du boulevard : ils regardent « en bas », « sous la fenêtre », « en dessous », « autour ».
Cette scène se passe « alors qu’il n’était pas encore minuit », soit tard dans la nuit après une longue « journée ardente » cela signifie surement que cet extrait se déroule en été. Il se passe sur « le boulevard », c’est-à-dire à l’époque Haussmann.
Haussmann, sous le Second Empire, a démolit une partie de l’ancienne capitale française pour crée ces « Grands boulevards » connu de tous à « Paris ».
Dans l’une de ses plus grandes allées : le boulevard des italiens, se trouvait un restaurant le « Café Riche » dans le 9ème arrondissement, ou les deux amis se reposent dans cet extrait.
Se trouvant sur un des grands boulevards, la nuit en été, il y avait un « vas et vient continu ; des promeneurs (…), des filles » une ambiance vigoureuse et légère avec beaucoup de mouvement se crée. Dans cette foule des « femmes, mêlés aux hommes » avec des « robes voyantes et des cheveux dans le coup (…) se dandinaient sur les chaises », ces femmes ou plus couramment appelées « cocottes » sont des jeunes femmes aux mœurs légères avec des amants aux XIX-XXème siècle.
Les personnages ont donc un spectacle visuel avec les cocottes, les passants et autres éléments visuels mais aussi des éléments sensoriels sonore comme les paroles de femmes « que le bruit empêchait d’entendre ».

Certes, au fil de a description, l’analyse géographique et historique du boulevard rendent compte de la vie Parisienne sous le 2nd Empire, faisant