Commentaire bérénice, acte 1, scène 5
Célèbre, poète du XVIIe s. , Jean Racine jusqu'à aujourd’hui est l’une des plus grande figures du dramaturge français. Conquit par le mouvement janséniste, il en devient le formel représentant. Tout comme Corneille, Racine, ne cesse d'opposer, la passion à la raison, dans des pièces au dénouement tragique déchirant les personnages, entre leurs désirs et leur devoir. Dans l’œuvre de Bérénice, parut en 1670, il met en scène l’immensité d’un amour sans limite de deux dignitaire de la royauté, qui par ailleurs sont Bérénice, reine palestinienne, et Titus désormais roi de Rome. L’extrait soumis, à l’étude en est un passage tiré, de l’acte 1, de la scène 5. Celle-ci se déroule quelques temps avant la réponse de Titus, qui au contraire de la pensé de Bérénice que nous verrons ci après, est toujours confronter à l’effroyable ultimatum auquel l’oblige sa destiné. La scène relate les propos entre Bérénice et Phénice, sa confidente. On se propose donc de voir comment réagit Bérénice à l’appréciation réaliste de Phénice que la raison d’état pouvait s’opposer au mariage.
Pour cela nous verrons dans un premier temps cette assurance qu’éprouve Bérénice, puis dans un second temps, le tableau visuel et musicale mais aussi poème d’amour que constitue cette scène. Et enfin ses intérêts physiologiques.
Axe 1: Assurance de Bérénice : Les deux premiers vers marque bel et bien ce sentiment, elle est convaincu de la futur décision de Titus avant même qu’il n’eut à la prononcer. Cela est dû au fait que Titus est devenu roi jusqu’à même un dieu aux yeux de Bérénice « Titus m’aime, il peut tout […] ».
Tout au long de la scène, Bérénice à une assurance certaine. Elle adopte une attitude positive, et rêve désormais des bienfaits que cela aurait sur Titus, mais aussi sur son gouvernement :
« Il verra le sénat m’apporter ses hommages,
Et le peuple de fleurs couronner ses images ».
Le ton exalté de la reine qui reconstitue ce spectacle exprime en