Dans une pièce de théâtre, le dénouement doit faire le bilan par rapport à la scène d'exposition comment les personnages et l'action ont ils évolué, qu'elles sont la tonalité, la leçon, l'originalité du texte ?

Un dénouement tragique .

A. Un dialogue impossible, presque interdit

dès la lecture, nous constatons l'inégalité entre la parole d'octave est celle de marianne. de plus, octave ne parle que de la mort de celio tandis que marianne essaie en vain de voir un avenir. elle s'adresse à lui, cherchant à le convaincre d aimer : ne serait-elle heureuse, octave, la femme qui t'aimerait, imaginant un futur à octave qui, lui, ce dit morts lui-même et de plus être capable d'aimer : je ne sais point aimé. elle le tutoie mais il reste de marbre et l' éloigne en continuant à la vouvoyer. elle essaie d user d'un charme auquel octave n'était pas insensible malgré sa fidélité à celio : c'est vrai qu'elle a de beaux yeux disait il à la fin de la scène d'exposition, et la jeune femme termine par une réplique bien mièvre même si elle est peut-être sincère : mais non pas dans mon coeur, octave, pourquoi dis tu adieu à l'amour ? la dernière réplique d'octave la renvoi de façon lapidaire et des rédhibitoires à son manque de jugement et de profondeur puisqu'elle n'a su détecter la qualité exceptionnelle de l'amour et de l'âme de celio, ne lui avait-t-il pas d'ailleurs déjà déclaré : elle eut ete heureuse la femme qui l eut aimé , au-delà, il rappelle marianne à la mort de celio et sans doute, à l'éternel culpabilité qui lui vaut en découler. c'est donc un faux dialogue entre une marianne sans doute touchante et qui aurait pu le faire céder mais la mort de celio pousse octave à une exigence de vertu qu'il avait noyé dans une abandon à la débauche .

B. Des accents de tragédie

d'autres par ce dénouement prend des accents tragiques même si le personnage de marianne amène charme et légèreté dans une pièce qui revendique le mélange de genre, mais la mort