Commentaire composé :
Montaigne : « De l' institutions des enfants »

Dans cet essaie humaniste Montaigne prend l'exemple de sa propre éducation pour en démontrer les avantages et les inconvénients. Ainsi il recommande une éducation dès le plus jeune âge, personnalisé et adapté à chaque enfants qui ne s'apprend pas par cœur, mais s'applique naturellement, Comme il la reçu dès l'âge de 6 ans dans le château de Montaigne au XVI siècles. Il s’interroge donc sur la meilleur éducation qui soit, pour cela il faudra d' abord étudier cette éducation sans contrainte qu'a reçu Montaigne dès le plus jeune âge puis dans un deuxième temps l'éducation dans les règles et l'art de l'époque.

Parmi les trois éducations différentes que Montaigne reçu dans son enfance il en reteins une qui d'après lui fut la plus productive. Premièrement parce qu'elle fut abordé dès le plus jeune âge l 10 « avant le premier dénouement de ma langue » . En effet pour l'enseignement du le latin son père lui choisi un précepteur, ou du-moins un gouvernant qui ne parlait pas un mot de français et avait pour consigne de ne parler qu'en latin avec Montaigne celui-ci le précise à l'aide d'un parallélisme l 7 « une règle inviolable que ni lui-même, ni ma mère , ni valet , ni chambrière ne parlait en ma compagnie qu’autant de mot de latins ». C'est avec cette pratique quotidienne l4 « il m'avait continuellement entre les bras » et sans aucune contrainte ni règles que Montaigne apprit le latin. le parallélisme de la ligne 26 « sans art, sans lire, sans grammaire ou précepte, sans fouet sans larme, j'avais appris le latin » le prouve ainsi Montaigne dénonce les châtiments corporel et la contrainte sous toute ses formes, sa propre expérience prouve l'inutilité de ses pratiques. Il fait donc l'éloge de cette éducation car se fut pour lui l'enseignement le plus favorable et productif, l'allégorie de la ligne 9 le démontre « c'est merveille du fruit ».

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