« L’homme est ce qu’il fait » de Malraux. Le mouvement littéraire du XVII ème siècle est le Classisme. Les auteurs du XVII ème sont Jean de la Fontaine, Molliere et La Bruyère. Les auteurs ne doivent pas critiquer directement l’homme mais avec l’aide d’un intermédiaire. Ainsi La Fontaine écrit le loup et l’agneau ou il dénonce la loi du plus Ford est celui qui gagne par intermédiaire des animaux. Nous étudierons l’extrait des Caractères « de l’homme » en 1688. La bruyère communique avec le moyen de Gnathon pour montre que l’homme a un caractère égoïste, il animalisé. Il s’agit d’un texte de type descriptif et qui l’argumentent sur l’homme, le registre comique. Comment la Bruyère représente l’homme ? Nous aborderons la description du personnage de Gnathon à table puis son individualité avec un personnage narcissique et pour finir un aspecter moral.

Le temps utilisé est le présent de vérité général. Un invité différents s’invite au repas table « Gnathon » est un nom propre c’est le personnage principal. La Bruyère décrit un personnage qui ne ressemble pas à un humain en fessant son portrait. On observe un champ lexical pour la description le portrait de l’homme « menton et de la barbe » « ses mains » « yeux » « ses dents » ainsi cela nous aider dans ca représentation physique comme sous forme d’un tableau. On observe aussi que c'est la table qui occupe la plus grande partie du texte car c'est le lieu social français à cette époque. Il commence à manger tous seul, on observe un personnage qui se transforme, en animal féroce. On relève un champ lexicale de la nourriture « des mets » « les viandes » « le jus et les sauces » il personnages dévore que qu’il y a sur la table. Il n’a pas de bonne manières il est grossières. " Il ne se sert à table que de ses mains", cela montre une personne antisociale et grossière. Il a une façon de manger est équerrent « haut et avec grand bruit » la répugnance de l’animal, un comportement bestial