commentaire mort heureuse
Le monde naturel est bon. On remarque qu'il y a un registre liryque, représentant le bonheur de Meurseult grâce au spactacle que lui offre le monde. La métaphore "Rien, pas un amour ni un décor, mais un désert infini de solitude et de bonheur" signifie que Meurseult n'a pas besoin d'avoir des sentiments pour se sentir bien, au contraire, la métaphore "jouait ses dernières cartes" veut dire que pour Merseult, tout cela n'est qu'un jeu, mais cela annonce aussi sa mort. Alors que Merseult est en entrain de mourrir, le monde rayonne avec l'hyperbole et métaphore de "la terre se couvrit d'or et de chaleur". Il y a une gradation avec "le jour se levait", "le matin qui pointa" et "le soleil se leva". Le matin qui pointe est exprimé par un hyperbole "d'un bond", ce qui montre la rapidité des évènements, qui sont en contrastes avec la mort de Merseult qui est lente. L'auteur nous offre une longue et belle déscription du monde, montant l'importance qu'il lui porte. La personnification de "la journée éclata comme un fruit mûr et sur toute l'etendue du monde, elle coula en jus tiède et étouffant, dans un concert soudain de cigales" renforce l'idée que le monde apporte du bonheur. Tout ceci nous apprend que, peu importe combien on souffre, le monde ne nous prête pas d'attention, nous lui sommes indiférrent. Pendant qu'on agonise, lui peut rayonner. Mais