Commentaire sur l'albatros
I. Une anecdote dramatisée
1. Une narration : on peut y trouver les éléments du discours narratifs :
Le titre annonce un texte descriptif et ne laisse imaginer aucune péripétie. Ensuite, on a une description des albatros et du navire : impression de grandeur avec les oiseaux par l’emploi de « vaste » qui serait plus apte à qualifier la mer. Le troisième élément décrit est le voyage qui réunit les hommes et les oiseaux. La quatrième strophe est un changement brutal d’origine et de registre.
De plus, les adverbes « souvent » et « à peine », marquant le début des quatrains 1 et 2situent l’action dans le temps.
L’action progresse, « prennent », « suivent », « laissent », des verbes au présent de narration.
2. La présence du réalisme
On peut remarquer la présence de nombreux adjectifs du champ lexical de la douleur, emprunté au registre pathétique « maladroits », « honteux », « piteusement », « gauche », « veule » pour désigner l’oiseau, ou d’autres adjectifs également réalistes désignant ces « hommes d’équipages », avec le registre familier dans « brûle gueule », l’utilisation