Commentaire composé Molière est un dramaturge français du XVIIème siècle. A l’époque, il est très proche de la cour et notamment du roi : Louis XIV. Il créait de nombreuse pièces de théâtre comiques appartenant au mouvement littéraire précédant le baroque : le classicisme. Le classicisme reprend de nombreuses règles strictes imposé par le roi Soleil, autant que pour les auteurs que les acteurs. Ainsi la comédie s’utilise pour « corriger les mœurs par le rire ». C’est ce que va faire …afficher plus de contenu…

En effet cette ponctuation montre qu’Argan chercher à en savoir plus sur la raison de sa « maladie du poumon ». Il pense ainsi que ce que dit Toinette est vrai. A la place de la contredire, il s’est intéressé à ce qu’elle a dit. Cela montre qu’Argan à une confiance aveugle pour tous les médecins mêmes les moins qualifié ce qui est comique pour le public. Argan est naïf. Il est crédule aussi par le fait qu’il montre du respect à Toinette juste parce qu’elle s’est déguisée en médecin. En effet, il répète trois fois la même réplique : « Oui, Monsieur. » (Ligne 40, 42 et 44). Cela montre que Toinette a de l’autorité sur Argan par sa seule condition de faux médecin, parce …afficher plus de contenu…

En effet, Molière montre un médecin très arrogant dans cette texte. Nous le remarquons dès la première tirade de Toinette. Elle la commence par une gradation à la ligne deux et trois : « Je suis médecin passager, qui vais de ville en ville, de province en province, de royaume en royaume ». Ici, Toinette se vante, elle se dit tellement grand médecin qu’elle voyage dans le monde entier pour exercer ses talents. Son arrogance est mise en exergue par le mélange de champs lexicaux. Dans sa tirade, Toinette associe le champ lexical scientifique, de la médecine, à un registre familier qui relève de l’ordinaire : « maladies ordinaire » (ligne 6), « bagatelles de rhumatisme et des fluxions » (ligne 7), « ces fiévrottes » (ligne 7), « ces vapeurs, et