REMY Warren T7 PHILOSOPHIEDans ce commentaire littéraire, nous allons étudier un extrait de « Les rêveries du promeneur solitaire » de Jean-Jacques Rousseau. C’est un texte posthume qui se définie à la fois de l’autobiographie et de la réflexion philosophique, il a donc été publié après sa mort. Rousseau fait partie du Siècle des Lumières, à l’époque où d’autres auteurs comme lui étudient le monde qui les entoure …afficher plus de contenu…

C’est ensuite qu’il va décrire ce moment comme vide plus précisément vide de connaissances comme si la vie recommencée à zéro il le compare même à la naissance d’un bébé (l.3)« je naissais dans cet instant à la vie » qui ouvre les yeux pour la première fois et qui découvre l‘envergure de la vie et ce qu’il voit c’est pourquoi il va assimiler tous les objets qui l’entourent comme s'il était nouveau pour lui et qu’il ne les avait jamais …afficher plus de contenu…

Dans ce deuxième moment de la (l.17-29) Rousseau retrouve légèrement ses idées et lui, qui avait perdu foi en l’homme à pourtant retrouvé celle-ci dans l’inconnu avec une âme bien charitable qui le raccompagna quelque temps sur la route vers chez lui remettant alors le point de vue de Rousseau sur l’homme dans la première promenade de cote mais c’est ensuite qu’il va dire (l.19-21)« Je marcher très bien, très légèrement, sans sentir ni douleur ni blessure, quoique je crachasse toujours beaucoup de sang » et aussi (l.21-22) « Mais j’avais un frisson glacial qui faisait claquer d’une façon très incommode mes dents fracassées » Il décrit sa marche comme tranquille sans se soucier de rien et c’est seulement à la fin de sa phrase qu’il va évoquer un élément important le fait qu’il crache encore du sang et que ses dents soient cassées de toute part en vue de ses blessures alors qu’il dit juste avant « sans douleur ni blessure »Ce qui montre que ce moment lui a tellement plu et