Compte-rendu de l'esclavage de olivier grenouilleau
Grenouilleau
Présentation de l’auteur, sujet générale de l’article
Olivier Pétré-Grenouilleau est un historien français, né le 20 avril 1962, qui s’est spécialisé dans l’histoire de l’esclavage. Professeur à l’institut d’étude politique de Paris depuis 2007 monsieur Pétré-Grenouilleau s’est imposé rapidement comme un spécialiste de l’histoire de l’esclavage avec divers ouvrages traitant du sujet comme l’ouvrage qu’est que l’esclavage ? paru en 2014 aux …afficher plus de contenu…
Dans une deuxième partie, Olivier Pétré-Grenouilleau met avant la globalisation de l’abolitionnisme à un niveau étatique. Notamment avec, la tentative non-aboutie de la Grande-Bretagne (précurseur dans le domaine de l’abolition) de mettre en place une ligue internationale contre « la traite des nègres » déjà dans l’acte finale du congrès de Vienne en juin 1815, mais aussi à la conférence de Londres en 1816.
De plus, il fait référence aussi à l’acte final de la conférence de Berlin en 1885 ou encore la SDN, ainsi que l’ONU. Des solutions à des échelles étatiques pour faire face aux traites illégales d’esclaves qui se poursuit sur l’atlantique et bientôt dans l’océan Indien. Mettant ainsi en avant le droit d’ingérence des …afficher plus de contenu…
Ils se rassemblent autour d’une idéologie commune et participe à placer la Grande-Bretagne avec un statut hégémonique avec parfois des zones d’ombres. L’auteur l’indique notamment la fois où le pays autorisait les Portugais à continuer la traite pour forcer, dans un but géopolitique, les Français à interdire la traite à ses ressortissants. Ce rapport entre l’idée national et idéologie abolitionniste est bien différent comme à Zanzibar. Ici, l’auteur fait référence aux mémoires de la fille du sultan Emily Ruete qui se sent offensé par les discours occidentaux dénigrant de l’endroit où elle vient, l’orient. De manière générale cette partie percevant ainsi l’abolitionnisme comme une idéologie des occidentaux ralentissant, de