Criminologie
Professeur : Mme Lachgar Ibtissam
Lorsque le pré pubère commet un délit, c’est un symptôme en réponse à des frustrations, des échecs du sevrage, l’angoisse de castration sur le plan psychique. Concrètement on voit apparaître des attitudes d’agression et de culpabilité.
A l’adolescence, il y a apparition de trois aspects généraux représentant des changements : * Découverte de la génitalité : représente un conflit au niveau inconscient entre le surmoi et le ca. * Aspect psychique : autonomisation de l’adolescent par le passage du stade familial protégé à une socialisation. Incitation pulsionnelle et désorganisation du moi favorisant l’expression par une réaction pouvant être le délit. * Aspect somatique : modifications organiques vers la génitalité.
La conséquence de ses aspects est des délits concernant un côté symbolique en référence aux tensions profondes.
L’auteur ici s’interroge sur l’origine de la névrose et les conflits dans l’organisme. Cette interrogation le pousse à réfléchir sur les différentes thérapies. Il part de ce postulat en étudiant les formes de délinquance habituelles étant dût à l’environnement social et les conflits infantiles qui, à l’adolescence, peuvent conduire l’adolescent à une conduite délinquante inconsciente. Les conflits infantiles engendrent une pulsion agressive dirigée vers la famille.
C’est donc à l’adolescent que l’on peut détecter le début d’une psychose ou d’une névrose.
Derrière les symptômes se cache des mécanismes inconscients de défenses face à des conflits familiaux ( infantilisme de l’adolescent, mise à l’écart, problèmes œdipiens…), on peut constater une phase d’homosexualité dût à la recherche