Critique bonjour paresse corinne maier
Selon Maier, aujourd’hui avec la financiarisation de l’économie, ce sont les marchés qui dictent l’économie. Aujourd’hui, on pratique un management pur, c'est-à-dire que les entreprises se soumettent totalement à la dictature de l’économie. Le problème c’est qu’à force de vouloir de la rentabilité à tout prix, cela développe de la précarité on demande sans cesse au salarié de s’impliquer davantage professionnellement. En réalité, le néo management met l'accent sur les qualités relationnelles, la polyvalence, la flexibilité de l'emploi, l'aptitude à apprendre et à s'adapter à de nouvelles fonctions plutôt que sur la possession d'un métier et sur les qualifications acquises. Aujourd’hui par exemple quand vous êtes a Macdo, vous n’êtes plus cuisinier, plongeur ou serveur, vous êtes équipier, vous faites toute les taches possible dans une cuisine. En fait on se sert du salarié comme un pion interchangeable qui effectue une tache sans âme, le salarié perd le sens de ce qu’il fait et fonctionne comme un robot. On lui dit quoi faire et le salarié perd en fait toute autonomie.
Maier dénonce le fait que ce type de management déshumanise le travail. Le fantasme managérial d’aujourd’hui serait que l’entreprise devrait fonctionner avec une seul tête et ou chaque salarié serait robotisé. Cette robotisation passe alors par un discours de l’entreprise et des managers avec la manipulation de la fameuse no man’s langue. On manipule le salarié avec des termes incompréhensible pour lui faire croire qu’il appartient une minorité privilégié. Son but est de faire obéir le salarié. Un salarié qui ne voudrait pas suivre cette logique, Maier parle du salarié individualiste, celui