Étude de la critique de la peine de mort.

Selon de nombreux auteurs de renommée comme « Maximilien de Robespierre », « Victor Hugo », ou « Albert Camus », la peine de mort doit être abolie. Dans certains textes, ils énoncent de nombreux arguments afin de justifier l'abolition de cette peine. Les approches, points de vue, et types de texte diffèrent d'un auteur à un autre, mais la cause et le but qu'ils servent sont communs.

Premièrement, ils démontrent l'injustice de cette peine :

La peine de mort est totalement injuste et dénuée de sens. Elle n'autorise les hommes à se défendre uniquement grâce à la loi, car, comme l'explique Robespierre, « Hors de la société civile […] à lui donner la mort ? » (lignes 9 à 15), un homme devant se défendre risque de subir un jugement ainsi qu'une peine. On nous explique en quelque sorte que, lorsque nous sommes menacés de mort par un autre, nous ne pouvons que mourir car, si on se défend en tuant son agresseur, c'est la loi qui nous éliminera, tandis que si nous ne faisons rien, c'est l'agresseur qui viendra a bout de nous. De même que si toute la société est retournée contre une innocente personne, aucun principe de justice ne peut s'appliquer a celle-ci, étant donnée que seule, elle ne peut point forcer une majorité à respecter ces lois, et le rend impuissant et à la merci des autres. Cela démontre de l'injustice de cette peine. Il est aussi fait référence à la comparaison d'un enfant impuissant (sous-entendu la faiblesse), et d'un homme « fait » , autrement dit fort, qui fait bien évidemment référence à la force. Le registre pathétique utilisé en employant le terme « d'enfants » permet de choquer et d'émouvoir le lecteur et de le faire adhérer plus facilement à ces idées. Un détenu condamné à mort est aussi « exclu » en quelques termes de la société, il n'est plus considéré comme un homme comme l'explique Victor Hugo dans son récit. On comprend que la peine de mort n'est pas la seule peine