De l'avarice - la bruyère
Il expose en plusieurs étapes, arguments ce qu’est un avare en le mettant dans les situations où son avarice se montrerait plus forte que lui et où à chaque fois l’avare aimerait son argent pour lui-même et non pour son usage.
Dans le premier exemple la bruyère met en avant le fait que l’avare même victorieux n’utiliserait pas le moindre argent même en guise de reconnaissance. C’est d’ailleurs pour cela qu’il introduit dans ce même exemple la présence de Bacchus c'est-à-dire de Dionysos dieu grec . On voit egalement dans cet exemple que la phrase en elle-même est ironique de par la chute « sur un présent si magnifique » en sachant qu’il s’agit de bandelettes et guirlandes faites de bois qui n’ont donc rien coûtées et qui sont censées être un présent pour un dieu. Même les dieux n’échappent pas à l’avarice de l’homme qui prend un plaisir à posséder.
Dans le second exemple la bruyère met davantage en avant le côté égoïste de l’avare qui préfère tout garder pour lui et esquiver la foule plutôt que de contribuer aux « besoins de la République ».
Dans le troisième exemple il montre que l’avare saisit n’importe quelles occasions pour ne pas dépenser. L’idée qu’il est riche lui procure plus de PLAISIR que le fait d’utiliser son argent. L’avare renonce à utiliser sa richesse pour mieux PROFITER de l’idée qu’il est riche.
Dans l’exemple suivant c’est la jouissance de posséder qui règne. Cette jouissance est décuplée par le fait de posséder sans utiliser, l’avare trouverait son plaisir dans le fait de posséder un bien en quelque sorte abstrait.
Dans le 5eme exemple on note une interpellation « vous verrez »
La Bruyère nous expose le fait que