Dieu existe ou non

294 mots 2 pages

Partie personnelle

Sujet : Existence ou non de Dieu

A) En fait, je crois que Dieu n’existe pas de manière concrète. À mon avis, l’être humain a créé une religion afin de ressentir une certaine sécurité, un espoir supérieur. De plus, la religion est une manière d’enseigner des principes et des valeurs telles que l’amour, le respect, etc. De cette façon, les gens sont guidés en se basant sur des règles écrites ou dictées par la bible ou par un prêtre. Pour moi, Dieu n’existe pas vraiment. J’ai une forte croyance pour le destin par contre, mais j’aime avoir des preuves scientifiques afin de faire disparaître les questions ou les incertitudes. B) Conviction : je crois qu’il n’existe pas de manière concrète…
Renseignement : religion-bible-prête
Argument rationnel : à mon avis… incertitude
Science : preuves scientifiques

C) Ça repose premièrement sur mes valeurs personnelles. J’ai toujours été une personne qui a besoin de preuves afin de croire. Mes croyances sont assez rares, je n’ai aucune certitude face aux phénomènes ou aux idées, tant qu’il n’y a pas de preuves. De plus, mes valeurs familiales entrent en jeu. Ma mère a toujours été quelqu’un de simple, qui ne s’est jamais intéressée à la religion. Donc, mon éducation n’était pas du tout axée sur ça.

D) Oui, parfois, car il y a tellement de différentes croyances dans le monde, différents renseignements. Cependant, je ne m’en préoccupe pas tant que ça. Je ne cherche pas à avoir de réponses car personne ne peut rien me confirmer.

E) Oui, juste un petit peu. On en avait parlé lors de mes cours de première communion mais je ne m’en rappelle plus du

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Concernant mon ressenti face à cette première pratique, je n’étais pas en confiance et hésité un peu, je demandais à de nombreuses reprises à la stagiaire si je faisais correctement les choses. C’est un soin que je redoutais un peu, par peur de ne pas trouver de veine ou alors de faire mal à la personne. Lors de la piqure je n’ai pas réfléchi et piqué de manière franche ce qui m’a permis d’être dans la veine du premier coup. Malgré mon appréhension, la patiente ne s’est pas plainte de douleur, ce qui m’a rassurée dans la pratique.….

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Parfois, on croit que quelqu'un nous oublie, que cette personne ne pense plus à nous, qu'à ses yeux on n'existe plus. On a l'impression de faire partie de son passé. Alors on a peur et on regrette de ne pas avoir fait le maximum pour la retenir. On sait pertinemment qu'on l'a fait souffrir mais on ne peut pas se passer d'elle. Malgré notre fierté constante, on avoue que c'est la seule personne qu'on aime.….

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