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Discours : propos organisé grâce à des propos éloquents écrits pour être prononcés à l’oral. Procédés :
- Eloquence, orateur, cadences oratoires, silences.
- Disposition.
La négritude : néologisme, on invente un nouveau mot pour une nouvelle idée, ici au centre du discours de Césaire.
La définition de l’homme varie en fonction du siècle mais aussi de la modernité, on se pose donc la question : un homme ou des hommes ? Ou encore la question de l’universalité de l’homme, jusqu’où peut-on diviser ? La négritude renvoie-elle à une des subdivisions de l’homme ?
C’est un texte polémique qui critique la version universelle de l’homme donnée par les européens. Il ne s’agit pas définir l’homme par sa couleur mais par son histoire.
Argumentation :
- Argument historique : la traite des nègres.
- Concession : situe la thèse adverse pour mieux la contrer (dernier paragraphe).
- Réfutation par la négation : « n’est pas une philosophie » ; « n’est pas une métaphysique » : marque ce que ce n’est pas pour renforcer ce que c’est.
Rhétorique :
- Anaphores
- Questions rhétorique (l10)
- Phrases développées en période (la dernière) avec des propositions juxtaposées.
Ce n’est pas un discours improvisée mais écrit à l’avance et la typographie renforce l’éloquence du texte. que l’homme a sa définition universelle, mais il est définit pas son histoire.
Deux éléments d’argumentation :
- L’éloquence = produire des effets
- La réflexion = existe-t-il un homme universel ou non ?
L’accent du texte est mis sur le fait qu’il y a de nouvelles choses chez les nègres, ce qui nécessite un nouveau mot : la négritude.
1) L’argumentation :
Thèse : l’homme noir n’est pas un homme comme un autre car il est porteur d’une histoire douloureuse, celle du colonialisme, de ce fait, il est également porteurs de valeurs de combat collectif. (Exemple moderne : Obama ou Martin Luther King.)
Antithèse : Il explique dans son texte ce que l’homme n’est pas. Il définit sa thèse pas la