Dissertation andromaque
« L’amour est la seule déception programmée, le seul malheur prévisible dont on redemande. » nous dis Frédéric Beigbeder, un sentiment inévitable, miséreux mas que chacun cherche désespérément.
Au 17eme sicle, lorsque racine écrit Andormaque, la société française est en plein changement. Les aristocrates sont envoyés au plus prés du roi Louis XIV pour que ce derniers n’est plus a se soucier d’eux, les occuper à autre chose que penser et donc de renverser la monarchie absolue du roi. Les aristocrates se donnent a cœur joie dans leur nouvelles occupation, c’est à dire, prendre du plaisir. L’amour devient un jeu et les sentiments profonds sont mis de côté. Mais, peu être qu’au plus profond de leur être, le mal est présent. La recherche de l’amour est donc d’autant plus difficile dans une pareille société. Mais certaines passions vives, intenses et brèves peuvent être satisfaites facilement.
Mr. Rohou veut nous faire comprendre que nos faiblesses morales, mentales et sentimentales nous font perdre la raison et sont les causes de notre destruction.
Sa pensée est bien différente de celle de la plupart des gens, qui pensent que l’amour et la passion, sont une source que bonheur premièrement et seulement en second lieu de malheur.
De là, plusieurs problématiques surgissent. Comment nos passions créent ce malheur et dans quelles mesures nous envahit-il ? Pourquoi ne peut-on pas subvenir à ces passions ? Et comment peuvent-elles devenir une force ?
Oscar Wild nous dit que le meilleur moyen de résister a la tentation est d’y céder. Ces passions ne sont pas contrôlables, nous tombent dessus et nous envahissent jusqu’au plus profond. Elles deviennent peu à peu une obsession sans que rien ne puissent les faire sortir de nos têtes. Elles nous ronge et finissent par nous contrôler. Elles fonctionnent sur nous comme un désir