Dissertation doubrovsky
Correction dissertation n°3 sur Doubrovsky
Dévalorisation de la fonction esthétique de la littérature. Quand l’esthétique est coupée de la connaissance de l’homme. Elle est dévalorisée chez des écrivains qui ne croient plus qu’à la fonction esthétique.
Il fallait reprendre dans la première partie toute l’explication de Doubrovsky liée à la perte de place de la littérature. Il fallait montrer à quel titre elle pouvait avoir eu cette connaissance, quelle connaissance ? En quoi elle débouchait sur une éthique ? Nous guérir par la tragédie, nous orienter vers une conversion avec Pascal. Les sciences positives n’ont pas grand-chose à dire sur la connaissance de l’homme : l’homme n’est pas l’objet de leur connaissance ; l’objet des sciences humaines c’est l’homme (psychanalyse, sociologie…) : quelles sont les limites de la littérature/à ces sciences ? La connaissance peut avoir une dimension subjective. Pour Zola, le roman c’est l’analogue de la réflexion scientifique.
Compte tenu de ces critiques, on pouvait montrer ce qu’apporte la littérature et que les sciences ne peuvent apporter, autre ordre de la connaissance. Nous apporte-t’elle autre chose que de la connaissance ? La littérature c’est la revendication de l’homme/à cette réalité, l’émerveillement devant le réel.
Comment cette connaissance débouche t’elle sur une éthique ? Il fallait montrer l’articulation entre connaissance et éthique dans la littérature . Todorov : « Les questions de vérité et de morale sont des questions qui importent à la littérature ». Doubrovsky suspend sa critique à une hypothèse, son propos n’est donc pas radical. Il fallait relier le sujet à nos connaissances de la sociologie, psychanalyse… Il fallait nous servir de l’approche de la littérature que permettent les sciences humaines. Etudes sur Balzac, critiques de Loukatch sur l’évolution du roman au 19ème s. parler de sociocritique, psychocritique (approche que Barthes fait de