Dissertation, la condition du poète est-elle celle d’un exilé dans le monde ?

1107 mots 5 pages
La condition du poète est-elle celle d’un exilé dans le monde ?
L’homme à une nature profonde de sociabilité, les modèles de civilisations de tout temps et de tout lieux reposent tous sur ce même principe : c’est une caractéristique de l’homme que peux d’espèce animales ont développés, et ce qui assure en grande partie notre domination. Mais à l’instar d’espèces comme la termite ou la fourmi qui partagent ce genre de modèle de vie, avec une hiérarchies, des communications entre les divers colonies, l’homme garde une individualité très développée, mettant sa personne au premier plan, et le groupe auquel il appartient bien loin derrière. C’est ainsi que l’on peut voir ce discerner divers « caste » appartenant tous de même à ce «grand tout », la société. Ainsi peut-on considéré que l’attitude générale de la caste « poète », vis-à-vis de ce grand tout est celle d’un exilé ? Pour répondre à cette question, nous étudierons dans un premier temps la condition financière du poète, puis les particularités que procure la capacité du poète à exprimer ses idées. Enfin nous verrons la condition du poète le place nécessairement à une place à part dans la société.

Tout d’abord, si exil il y a, cherchons si le poète est forcé d’effectuer sa retraite ou s’il effectue de son plein gré. L’activité de poète n’est pas ce que l’on pourrait cataloguer comme un métier classique : les revenus sont incertains et rarement conséquent. Jean de la Fontaine exprime cette situation précaire dans sa célèbre fable « La cigale et la fourmi » où l’artiste est représenter par la cigale, celle-ci étant obligé de vivre au crocher de la fourmi qui dans un certain sens la dénigre. La situation de la cigale peux se rapprocher de celle de la Fontaine et d’autres poètes de son époque, ceux-ci étaient rattaché d’une manière comme une autre à la couronne ou à d’autre riche : le poète qui vie au dépend de mécène. Il en ressort donc que le poète ne semble pas autonome. Dans l’ « Albatros « de Baudelaire,

en relation

  • Oiseaux de passage « Oiseaux de passage » (fin du poème)
    6460 mots | 26 pages
  • shakespeare bio
    972 mots | 4 pages
  • Commentaire, le lombric de roubaud
    768 mots | 4 pages
  • Cage d'oiseau - ô tourments = thèse, antithèse, synthèse
    917 mots | 4 pages
  • Anthologie de la guerre
    1426 mots | 6 pages
  • controle l'etranger de Camus 1
    1507 mots | 7 pages
  • Aide anthologie
    1281 mots | 6 pages
  • anthologie poétique
    347 mots | 2 pages
  • nelligan
    454 mots | 2 pages
  • Baudelaire
    959 mots | 4 pages
  • Louis aragon
    292 mots | 2 pages
  • question sur corpus
    374 mots | 2 pages
  • Louis aragon
    392 mots | 2 pages
  • Virginia woolf, biographie
    32106 mots | 129 pages
  • Commentaire "l'automne" lamartine
    1172 mots | 5 pages