DISSERTATION |

Il est certain que la « Barbarie » que l'on peut qualifier de différence de civilisation comme de cruauté, de manque d'humanité est un bon exemple pour essayer de voir de quelle manière la littérature nous traduit correctement les choses et nous amène à nous faire une opinion.
Nous allons voir en quoi et de quelle façon nous arrivons à comprendre les us et coutumes de l'Autre, avec pour commencer comprendre la relativité avec en premier lieu un genre narratif mais fictif puis en second lieu un genre narratif gentil du bon sauvage. Puis, pour finir comprendre les us et coutumes avec en premier point le genre argumentatif puis en deuxième point un genre narratif mais cette fois-ci réel. Tout cela va nous permettre de répondre à si la littérature peut aider à prendre conscience de la relativité de ces usages et à mieux comprendre les mœurs qui nous paraissent étrangères.

Qu'est-ce que la relativité ? Ce serait juger selon le point de vue de chacun. En effet, tout dépend de l'idée que l'on se fait. Le genre argumentatif du « bon sauvage » peut être un pas vers la compréhension. Selon Bougainville, explorateur, il y aurait des « bons sauvages ». D'après ce qu'il raconte tout est magnifique et il raconte ce qui l'arrange pour nous faire croire aux sauvages qui selon lui seraient « bons » comme il le cite dans Voyage autour du monde au chapitre 9 : « tout se passait de manière la plus aimable » et « la terre se jonchait de feuillage et de fleurs, et des musiciens chantaient aux accords de la flûte un hymne de jouissance ». Pour lui, c'est une ambiance de paradis et plus qu'agréable. Le sauvage est « bon » il offre à manger, une bonne ambiance et ne sont pas sauvage comme nous pourrions le définir, avec un manque total de civilisation et d'humanité.

De plus, le genre narratif mais fictif peut jouer un rôle dans la compréhension de la relativité. Pour Diderot, penseur, le point de vue fictif du « vieillard » est à l'opposé, comme nous pouvons