“ Une morale nue apporte l’ennui ; Le conte fait passer le précepte avec lui .” Affirme Lafontaine, auteur du 17eme siecle, s’opposant et critiquant la monarchie absolue, par le biais de ses fables à morale. Il met en scène des animaux, créant ainsi une métaphore de la cours, façon habile de la critiquer en échappant à la sencure de l’époque.
On se propose d’annalyser cette affirmation sous trois angles : L’assimilation de la morale, la façon dont elle est tournée, pour être perccutante ou non ; Comment vehiculer la morale, la rendre attrayante, interressante ; Et enfin, on se propose de définir les limites de la morale nue, et morale à fable.

La morale nue peut-être retenue grace à sa forme sa forme simple, voire simpliste, à la façon d’un slogan : “ Rien ne sert de courir, il faut partir à point.” ; Elle peut être assimilée dans la durée, ancrée dans les valeurs tout comme, par exemple, les mots “ Liberté Egalité Fraternité “ qui sont ancrés dans les valeurs françaises, depuis des generations. La morale peut également s’insérer dans le conte ou la fable, elle est dans ce cas marquante par son coté divertissant, et pertinent à la fois, mis en valeurs par d’intelligent procédés d’écriture, comme le fait par exemple LaFontaine dans ses fables.

Deux procédés d’écriture peuvent être utilisés, dans la fabe, ou le conte, afin d’y rendre la morale intéressante : On peut placer la morale en exergue, en démontrant explicitement que cette morale est cohérente, comme Lafontaine le fait dans Le loup et l’agneau: “ La raison du plus fort est toujours la meilleur: nous l’allons monter tout à l’heure “ ; On utilise donc ici le registre didactique. On peut également introduire une moral de façon implicite, dans un récit semblant purement naratif, bien qu’il soit didactique, come la fait par exemple Voltaire, dans son conte philosophique Micromégas : “ Les voila donc revenus d’ou ils étaient partis, après avoir vete mare, presque imperceptible pour eux, qu’on nomme la