La mondialisation qui offre de grandes chances de parvenir à un développement authentiquement mondial avance de façon irrégulière. Certains pays s’intègrent à l’économie mondiale plus rapidement que d’autres. Dans ceux qui ont pu s’intégrer, la croissance est plus forte et la pauvreté diminue. Les pays de l’Asie de l’Est sont devenus pour la plupart dynamiques et prospères alors qu’ils figuraient parmi les plus pauvres auparavant. Dans le cas contraire, l’économie peu stagner avec une forte inflation comme dans les pays d’Amérique du Sud.
La mondialisation c’est d’abord l’extension de l’économie de marché à l’ensemble de la planète grâce à l’innovation et au progrès technique. L’essor du commerce mondial, libéralisation des marchés financiers, l’économie s’est mondialisée au cours des quarante dernières années. Elle s’étend aujourd’hui sur l’ensemble de la planète suite au déploiement du capitalisme, qui s’est imposé dans les économies mondiales les plus importantes.
Les européens craignent que la mondialisation ne soit pas un bon type de développement pour leur peuple. Ils sont heureux de pouvoir profiter du phénomène (des jeans et des gadgets high-tech peu chers) dès lors qu’il ne touche pas à leur emploi à travers des délocalisations ou pour augmenter négativement la compétition entre salaires. Ce système à la particularité d’accélérer les écarts de richesses entre les plus pauvres et les plus riches. Ce phénomène se vérifie au niveau national de chaque acteur mais aussi au niveau mondial, entre eux.

La mondialisation est-elle un effet de mode ou correspond–t-elle à un système optimal dans notre économie mondiale ?
La mondialisation nous est imposée par le système déjà en place qui est lourdement encré. Cependant, elle favorise les échanges entre les pays qui n’est pas systématiquement accompagné de la redistribution des richesses et du développement des pays défavorisés.

Nous verrons dans un premier temps les bénéfices de la mondialisation, puis nous verrons