I. Donner pour recevoir :

De nos jours, nous vivons dans un monde capitaliste, ou l’échange est important pour faire fructifier un profit. En effet, le fait d’échanger est de céder quelque chose en moyennant une contre partie. C'est-à-dire donner pour recevoir une chose équivalente. On distingue plusieurs types d’échanges. L’échange commercial qui est basé sur la monnaie. Prenons l’exemple du commerçant qui donne un bien ou effectue un service, en échange il sera payé par le client. De même pour les salariés. Ils mettent leurs savoirs à la disposition d’une entreprise mais ils attendent une contre partie : un salaire à la fin du mois. L’échange est reconnu par tous et se rencontre partout. Il existe également l’échange matériel, qui consiste à échanger des biens de valeurs égales. Ce principe se nomme aussi le troc. Mais il est également utilisé inconsciemment lorsque l’on fait un cadeau à un ami. En effet, ce geste sous entend la perspective d’un retour, que l’on appel le contre don. Dans une relation, le don créer une obligation mutuelle : l’obligation de recevoir mais également l’obligation de rendre. Il institut alors une « dette » morale.

Cependant le don repose t-il seulement sur l’intérêt ?

II. Donner pour les autres :

En opposition à l’échange, le don est le fait de céder gratuitement, sans contre partie. C’est le contraire de profiter. En effet, il s’agit d’une action désintéressée, effectué pour les biens faits qu’elle peut procurer à celui qui reçoit. Cette méthode fait appel aux sentiments altruistes tels que l’amour ou la pitié. Le fait de s’intéresser aux autres peut créer des dons. Certains financent des œuvres caritatives. Cela aide les autres mais le donateur ne trouve pas d’intérêt personnel. De même pour les dons d’organes ou de sang. De nombreuse personne bénéficieront de ce geste mais le donateur ne recevra pas d’argent ni de bien en