Dopage et compétition
Le dopage arrive dans le milieu du sport comme un frein aux vertus et aux valeurs qu’on attribut au sport.
Alain EHRENBERG dans un article du nouvel observateur de 1998 voyait le sport comme une façon neutre d'éduquer dans un contexte ou il faut faire abstraction de la pression sociale. C’est dans une idée plus poétique que Henry de MONTHERLANT dans son ouvrage les olympiques pensait au lien qu’a le sport avec les valeurs naturelles et humaines. De ce fait le recours à ces substances dérange le mythe de la pureté du sport affirme Michel Richard, ce qu’appuie Blachon dans son illustration de 1999 dans le Nouvel Observateur, en faisant jurer le sportif, questionnant son honnêteté.
MONTHERLANT soulignait que le sport relevait du plaisir physique. Les sportifs usent des produits dopant pour développer considérablement leurs possibilités physiques et dépasser leurs limites naturelles confirme Antoine HAMON dans un extrait de l’article « Sport » publié en 1989. EHRENBERG s’accorde avec ça, le dopage est une façon de repousser ses difficultés, et rajoute que c’est une façon d’améliorer ses capacités physiques et de modifier son corps sans être complètement dans la drogue ni dans la médecine.
Mais le dopage va à l’encontre de l’idée de concurrence loyale, soutiennent