Droit civil 1ère année licence
Il faudra faire une distinction entre l’incapacité d’exercice et l’incapacité de jouissance.
Pour l’examen, plusieurs exercices sont possibles. Cependant tous ne sont pas forcément appropriés par rapport à ce que l’on attend de nous. L’exercice le plus intéressant est le commentaire d’arrêt : « un juriste qui sait faire un bon commentaire d’arrêt, est un juriste de bon niveau ». Cependant, il serait trop dur d’exiger un commentaire d’arrêt dès le premier partiel. Le cas pratique est lui surement plus professionnalisant, donc ca n’est pas fait pour tout de suite. La dissertation se rapproche elle du statut du commentaire d’arrêt : c’est surement trop compliqué, d’autant plus que ca demande du temps pour bien argumenter. Les questions de cours, elles, se rapportent trop à l’idée que l’on a des juristes qui doivent savoir des choses par cœur.
ATTENTION : cela étant, il y a des choses en Droit à apprendre tout de même par cœur.
A l’examen, sera donc demandé une ou deux questions de synthèse : il faudra être en mesure d’apporter une synthèse par rapport à des choses qui se trouvent souvent à plusieurs endroits. Il faudra ainsi bâtir un plan et non réciter le cours par cœur. Dans la perspective de cet examen, les conditions pour réussir sont d’être assidu au cours et d’assimiler intelligemment celui-ci (pas la peine d’apprendre des dates par cœur, etc. …).
Du point de vue du plan, il est obligatoire de le faire apparaitre pour le moment, il peut être en 2 ou 3 parties : ca fait vraiment parti de l’exercice que de s’assurer que l’on est capable d’ordonner son propos.
Quand on fait un plan, on ordonne son propos et donc, il faut faire apparaitre dans la problématique que l’on traite, soit une complémentarité, soit un paradoxe, ou une opposition, … Il faut donc faire attention à ce que les deux parties se « répondent ». Attention, si on n’arrive pas à énoncer son plan, c’est que ce dernier n’est pas bon.
La question de la grammaire et de l’orthographe