TRAVAIL D’INTÉGRATION BLOC 1
Définition personnelle de l’éthique appliquée

À la lecture des documents et à l’écoute des vidéos, ma réflexion sur l’éthique semble plus approfondie qu’elle ne l’était avant le cours. La raison étant que je ne m’étais jamais attardée de façon approfondie sur ce concept. En fait, je dirais que l’éthique était pour moi ce qui se rapprochait le plus de la morale, c’est-à-dire d’agir en fonction de ce qui est bien ou mal. J’avais le sentiment que l’on m’avait inculqué de bonnes valeurs et étant une bonne personne de part sa nature, je ne pouvais qu’agir de façon éthique. Cependant, je réalise que l’éthique est beaucoup plus complexe que cela et conséquemment, ma définition de l’éthique a évolué. Enfin, j’imagine que qu’elle ne serait pas non plus tout à fait la même si vous m’aviez posé cette question à la fin du présent cours. Selon moi, chaque personne interprète l’éthique de façon différente en raison de plusieurs facteurs, que ce soient des facteurs culturels, sociaux, etc..

Ma définition de l’éthique est celle retenue par le présent cours. En fait, je considère l’éthique comme étant un processus qui permet une réflexion critique sur ce qui relève du domaine moral (valeurs, normes, droit, lois, morale, déontologie, mœurs, règlements, etc.) Ces concepts orientent notre façon d’agir en permettant la résolution de conflits de valeurs et/ou normes. Ainsi, je considère que la communication est essentielle dans le domaine de l’éthique. De plus, la norme n’est plus un absolu; Elle devra être confrontée à la critique. En fait, il n’est pas dit que le principe sera exclu, mais on ne lui donnera pas nécessairement la même force ou importance.

Dans l’éthique appliquée, on doit tenir compte des conséquences de nos gestes et de nos paroles. Les enjeux sont importants. Effectivement, notre façon de réagir ou d'intervenir peut causer des conflits et peut occasionner des émotions des personnes concernées.

Or, tout définition