Après l’entrée de la Roumanie, en 2007, dans l’Union Européenne
Nous allons analyser la situation de la Roumanie et comment elle se place par apport aux IDE Investissement Direct à l’Etranger.
Dès lors la croissance économique ne cesse d’augmenter grâce aux investissements importants et à une augmentation significative de la consommation. Favoriser par une main d’œuvre bon marché, qualifiée, une fiscalité avantageuse et une position stratégique, la Roumanie devient un « eldorado de la délocalisation

Nous allons tout d’abord étudier la croissance et les revenus de la Roumanie, mais aussi le coût de sa main d’œuvre. Puis dans un second temps, quelles sont les conséquences économiques et sociales pour la Roumanie d’avoir des implantations étrangères sur son territoire ainsi que ses facteurs d’attractivité qu’elle dispose.

Bien que de nombreux problèmes subsistent, l’économie de la Roumanie est depuis une dizaine d’années en pleine croissance.
En effet, avec un rythme de croissance de 8.5%, il fait parti des pays avec un fort développement économique. Alors que l’Union européenne et la France tourne autour des 1% en 2002 et 1.2% en 2008 de PIB, la Roumanie fait effet de meneur dans ce domaine. Avec un PIB de 5.1% en 2002 et de 8.5% en 2008, elle est très clairement dans une période de forte croissance économique. La Roumanie fait alors front aux pays riches de l’Union européenne.
L’un des motifs de cette croissance extraordinairement forte est le revenu perçu pas les roumains. En effet, malgré une forte croissance, le revenu moyen reste faible. Avec un salaire moyen de 328 euros dont un salaire minimum de 274 euros pour les cadres et 137 euros pour les autres catégories, il reste tout de même très faible par rapport au salaire minimum européen, à l’exemple du revenu minium français