Economie international
Rôle de l’économiste : objectif fondamentale, sorte de postulat datant du 18ème siècle (Adam Smith « La Richesse des Nations » en 1776.
Nous sommes dans une économie de rareté (demande, emplois, connaissances, capitales humains, biens, services, entreprises…) = point de départ. Pour eux, il va y avoir des risques de conflits car tous les citoyens ne peuvent pas obtenir les ressources dont ils ont besoins, ne peuvent pas assurer nécessairement tous leurs besoins donc naissent des conflits d’usages. Si il y a des risques de conflits armés, conflits d’usages, il y a un risque de désordre, de non reproduction du système socio-économique. Pour éviter cela il faut passer d’une économie de rareté à une économie d’abondance, grâce à cela on aura une pacification. Pour passer à cette économie d’abondance, il y a 3 solutions : tout d’abord produire d’avantage de richesse donc de biens et de service en valeur comme en volume qui est le recours à la croissance économique = recours fondamental. Puis il faut allouer différemment nos ressources = problème de répartition. Et pour finir il faut avoir recours au progrès technique, grâce à cela nous pourront produire donc d’avantage avec une quantité moindre de travail, ce qui va libérer du temps par la suite. Parmis les raretés, il y a une intéressante la rareté d’entreprise = rareté d’emplois = rareté de ressources = rareté de croissance. Les pouvoirs publics vont tenter de séduire les entreprises. Dans les années 80 apparaissent des politiques d’attractivités qui consistent à attirer sur un territoire d’autres entreprises = politiques de séductions. Ils veulent séduire les entreprises mais aussi les retenir.
A partir des années 80, il y a 2 discours :
Négatif (1945 - 1980) : période de croissance économique avec les trente glorieuses, fort taux de croissance économique, production et consommation de masse. Les salariés ont toutefois une vision négative de l’entreprise,