Economie

8761 mots 36 pages
Sujets d’examen :

1. La révolution comportementaliste en relations internationales

2. L’irruption du structuralisme (Kennett Waltz)

3. Le retour des préoccupations méthodologiques à la fin des années 1990 en relations internationales

4. La nouvelle phénoménologie du monde de la sécurité

5. La nouvelle grammaire de la guerre

6. Les origines de la sécurité globale

7. Les bases de données

8. Les problèmes épistémologiques de la modélisation

9. Le modèle de Ted Gurr

10. Le modèle de Brecher

QUESTION 1
La révolution comportementaliste en relations internationales

INTRODUCTION

L’approche méthodologique a longtemps était mise de côté en relations internationales. L’impossibilité de s’accorder sur une théorie a conduit à rendre impossible le recours à des instruments spécifiques, des méthodes. Les théories de l’international ne permettent pas de transmettre le savoir car elles sont trop éparses, réparties dans diverses écoles.

Dans les années 60, on a une quête d’amélioration des instruments. On assiste à un débat : opposition entre empiristes et comportementalistes.

THEORIE EMPIRISTE

Raymond ARON dans un article de 1967 (« Qu’est-ce qu’une théorie des relations internationales? » - Revue française de science politique) soutient que l’on ne peut pas avoir d’approche théorique de l’international. Aron a eu du mal à l’accepter. Il ne faisait pas de réelle distinction entre la question de la théorie et celle des méthodes.

Aron trouve 6 raisons liées à des interrogations méthodologiques :
1- L’interpénétration des facteurs internes et externes : Il y a beaucoup trop de facteurs qui jouent à l’intérieur et à l’extérieur. Une discipline pour exister doit définir un cadre qu’elle étudie, or là ce n’est pas possible
2- Le trop grand nombre d’intérêts à agir : La multiplicité des facteurs et des mobiles à l’international. Il y a des éléments matériels (âmes, territoires). Mais on ne mène pas des politiques en fonction de

en relation

  • Economie
    281 mots | 2 pages
  • Economie
    1018 mots | 5 pages
  • Economie
    518 mots | 3 pages
  • Economie
    303 mots | 2 pages
  • Economie
    492 mots | 2 pages
  • Economie
    404 mots | 2 pages
  • Economie
    257 mots | 2 pages
  • Economie
    1168 mots | 5 pages
  • Economie
    447 mots | 2 pages
  • Economie
    405 mots | 2 pages
  • Economie
    1061 mots | 5 pages
  • Economie
    430 mots | 2 pages
  • Economie
    980 mots | 4 pages
  • Economie
    4984 mots | 20 pages
  • Economie
    1224 mots | 5 pages