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Bien que la prostitution soit le plus vieux métier du monde, il n'en reste pas moins le plus remis en cause. Tout du moins dans les pays dit "libres".
Les prostituées ont été considérées de différentes manières au cours de l'histoire. Sous la Grec Antique, les prostituées faisaient partie intégrante des rites religieux. Sous la France de l'Ancien Régime et sous Napoléon, les courtisanes étaient des femmes bien élevées et cultivées. Elles n'étaient pas simplement tolérées: elles étaient véritablement respectées. Les temps ne sont bien évidemment plus les mêmes, mais il est intéressant de faire cette petite précision historique.
En France, c'est Françoise de Panadeux qui a involontairement relance le débat sur la licite ou non de la prostitution.
Cela partait pourtant d'une bonne intention puisque notre députée fraîchement relue proposait d'autoriser la réouverture des maisons closes, disparues peu après la guerre, en 1946.
Malheureusement la polémique a enfle les jours derniers. Avec l'arrive massive des filles de l'Est, le marche de la prostitution prend un nouveau visage qui amante les gouvernements européens a réfléchir sur le plus vieux métier du monde. Et les medias se font le relais des différentes expériences menées en Europe au cours de ces dernières années.
L'exemple le plus aberrant est celui de la Suède. Ce pays scandinave sans histoire sanctionne pénalement depuis quelques mois les clients des peripateticiennes et sert d'exemple à la cause anti-prostitution. Mesure hypocrite puisque désormais celle-ci s'organise différemment. Il en découle une prostitution plus cachée, en appartement. De plus, qu'est ce qui justifie la criminalisation du client ? Celui-ci est il coupable d'une faute ? L'acte sexuel s'est il effectue sous la contrainte ? Que nenni.
Afin de justifier la mise en place de cette mesure, Margaretha Wimberg, le ministre suédois de l'égalité des sexes déclare que "traiter une personne comme une