El florido pensil de Andrés Sopeña Monsalve, ce livre comme dit précédemment, est raconté par un jeune garçon qui a vécu l’école sous le franquisme. Dans ce livre, le jeune garçon nous raconte sa scolarité. L’énumération des enseignements qui nous y est faite est probante : les mathématiques, la religion, et, en grande partie, l’Histoire du pays. Tout son récit est accompagné d’images provenant de manuels scolaires qui ont vraiment été publiés, ce qui donne toute sa richesse à cet ouvrage. …afficher plus de contenu…

Des histoires qui devaient faire peur aux élèves, comme : l’Enfer. Ainsi, les apprenants sont manipulés dans tous les enseignements. De plus, les méthodes d’apprentissages sont à revoir, puisque les élèves devaient apprendre tout par cœur. Ce sont des méthodes qui ne permettent pas aux élèves de d’apprendre dans de bonnes conditions. Son étude est pertinente car elle dénonce et révèle les mauvaises méthodes d’enseignement accès sur la peur et la manipulation de l’époque. Elle dénonce aussi l’Église l’État et la Société. Même si ce livre n’aborde pas spécifiquement l’éducation des filles, il semble intéressant de pouvoir comparer les …afficher plus de contenu…

Cependant, victimes de mauvais traitements, ils connaissent des conditions de vie déplorables, ils vivent dans un grenier et sont manipulés par l’Église et l’État, pour faire d’eux des Espagnols fiers, fidèles à leurs pays et aux valeurs traditionnelles. Dans cette œuvre, la nouvelle éducation que reçoivent ces enfants n’est pas du tout bienveillante et pédagogique. Par exemple, dans cette pièce de théâtre, il arrive plusieurs fois que les enfants soient privés de nourriture pour avoir péchés ou mal fait quelque chose. Comme dans l’œuvre précédente, on retrouve cette idée d’enseigner la religion par la peur, ce qui, d’une très mauvaise manière, permet d’apprendre la religion, par peur des représailles. L’étude de cette œuvre littéraire est pour l’enrichissement de ce mémoire. Elle nous