Étude critique document d'histoire.

Ce document est donc un texte, c'est un témoignage écrit après la seconde guerre mondial par Blaise Cendrar, un homme de nationalité Suisse qui s'est engagé volontairement dans l'armée française. Ce témoignage est issu d'une autobiographie écrite en 1947 par celui-ci, dans laquelle Blaise évoque son expérience de la première guerre mondiale (1914-1918)
Dans cette autobiographie, il rend en quelques sortes hommage à tout ces hommes qui ont, tout comme lui, traversé cette guerre dans d'affreuses circonstances.
Premièrement, je vais décrire les conditions de vie des soldats dans les tranchées à travers plusieurs témoignages tel que celui de Blaise Cendrars.
Dans ma deuxième partie, à partir de ce document et de mes connaissances, je vais faire un point sur la forte mortalité durant cette guerre.

Pour commencer, les conditions de vie semblaient affreuses, du moins elles l’étaient. Dans « La main coupée », Blaise Cendrars, démontre à quel point la vie dans les tranchée était horrible « pour un sale coin, c'était un sale coin » dit-il, le temps de ce premier hiver de cette première guerre mondiale n'arrangeait rien, il évoque le champ lexical du mot « boue » à plusieurs reprises « à la succion de la boue qui faisait ventouse » ; « un lac de bouillasse » ainsi que le mot « magma ».
En parlant de cet hiver affreux et d'une durée interminable,en passant par l’hygiène et la propreté non présente, il ne faut pas oublier qu'ils sont la cause de certaines maladies contagieuses telle que les bronchites ou les conjonctivites.
Ensuite, le fait d'être loin de sa famille, de ne pas voir grandir ses enfants et partir ses parents en cas de décès faisait partie de ces souffrances que subissaient tout ces soldats, ils étaient des êtres humains avant tout.
Bien sur certains avaient quelques jours de permission mais cela se faisait rarement, et dépendait de l'endroit où habitait ces soldats, dans son carnet de guerre Louis