Etude du texte de zadig - epitre dédicatoire
Voltaire remanie le texte de, il y ajoute III chapitres, il change également le titre du compte en « Zadig ou la destinée » La version finale parait en 1748. C’est un comte philosophique qui pose les bases de la question du libre arbitre.
L’auteur donne au lecteur l’envie d’aller plus loin. Il énonce le but du texte à savoir amuser et à faire réfléchir le lecteur.
I – La forme épistolaire
C’est une lettre, parfois un poème qui s’adresse à un personnage réel ou fictif sur des sujets variés et la forme dédicatoire est une forme d’hommage
1) Situation d’énonciation Destinateur est Sadi , il apparaît en signature et dan le texte par la traduction d’un livre ancien = un destinataire réel mais on voit qu’il s’agit de Voltaire car Sadi n’as pas existé à l’époque. la date et le lieu sont marqués = exotisme du texte. Sultane fictive, nom proche de CHEHERAZADE = 1001 nuits = personnage noble
2) Présentation du livre
L’épitre est une sorte de préface du livre, l’auteur est un ancien sage. Livre d’abord écrit en ancien Chaldéen puis transcrit en arabe = permet de prendre l’origine du livre, ne pas accuser l’auteur de critiquer l’époque moderne et en mm temps crée illusion réaliste = permet de croire en l’existence de ce texte auparavant
3) Une forme poétique
Texte censé avoir été écrit par un poète = censé avoir des formes poétiques = rythme ternaire
II – Un portrait idéal de la sultane ?
1) Portrait élogieux
Termes mélioratifs concernant sa beauté. Un gout très fin, des talents et elle est intelligente, douce. Mise en avant de qualités qui annoncent celles de Zadig
2) Ironie du portrait
Ironie débordante = elle est fainéante, on dit qu’elle vit dans un espace privilégié. Ton plus respectueux, il est dit qu’elle a un « petit » ton philosophique = sens critique et élogieux derrière ce portrait
3) Portrait du lecteur idéal
D’après Voltaire le portrait fait ici est celui du