etude sur la toxicité
— Food and Chemical Toxicology [3]
Séralini et son équipe contestent ce retrait : « Selon les règles en vigueur à Food and Chemical Toxicology, le retrait d'un article ne peut être décidé qu'en cas de « manquement éthique », de « plagiat », de « publication préalable » ou de « conclusions non fiables pour cause, soit de fraude, soit d'erreurs de bonne foi (erreur de calcul, erreur expérimentale) ». Le chercheur français fait valoir que l'aspect contesté de son travail – c'est-à-dire le protocole expérimental lui-même – n'entre dans aucune de ces catégories » [2] . Séralini menace la revue de poursuites judiciaires et l'accuse de manquer d'indépendance et de céder aux pressions des industriels [2] . L'eurodéputée Corinne Lepage, l'association Générations futures, la Fondation Sciences citoyennes et l'ONG bruxelloise Corporate Europe Observatory (CEO) dénoncent également l'influence des groupes industriels sur la recherche scientique [2] . Le journaliste scientifique Stéphane Foucart fait valoir qu'ainsi la « Food and Chemical Toxicology prive les recherches ultérieures d'éléments de comparaison, de confrontation, d'analyse. Pour