Philosophie «Je pense, donc je suis » ici René Descartes exprime l’une des thèses principales de son œuvre « Discours de la méthode » , centrée autour de la conscience et du savoir.L’extrait qui va être étudier est tiré de cette même œuvre écrite en 1637 dans lequel il traite de nombreux sujets mais qui s’axe principalement sur la conduite de la raison, le questionnement de la conscience et la recherche de vérité. La cinquième partie s’interroge davantage sur la conscience animal et la différence …afficher plus de contenu…

Il le contredit donc en mettant en opposition les hommes stupides à l’animal le plus parfait, il montre donc que malgré l’écart de perfection en faveur de l’animal, il n’existe pas d’homme stupide incapable de parler et de se faire entendre ni d’animal aussi parfait soit t’il qui puisse véritablement parler.Ici Descartes donc base son argument sur la parole, c’est-à-dire la capacité à exprimer des pensées complexes à des semblables.Mais un autre contre-argument fait barrière a sa réflexion, l’idée selon laquelle les animaux auraient une pensée mais pas la capacité physique pour l’exprimer grâce a la parole.Pour prouver le contraire il prend comme exemple les pies et perroquets qui ont la capacité de retenir et répéter des mots mais qui a l’inverse de l’homme qui peut extérioriser sa pensée grâce aux langages les perroquets et pies ne font comme la plupart des animaux que réagir à leurs environnements, de façon machinale en répétant des paroles qu’ils ont entendu, une action que ne …afficher plus de contenu…

Avec la phrase, « peuvent être imités par des machines aussi bien que par des animaux », Descartes associe ici les animaux aux machines, en montrant que selon lui les animaux ne représentent que des automates très élaborés, entièrement constitués de matière et dénués d’espritIl reprend ensuite l’hypothèse de « quelques anciens », avec cette expression il critique explicitement la manière de penser qu’il conçoit comme arriérés de certains philosophes. Une hypothèse selon laquelle les animaux possédaient un langage qui leurs est propre et que les hommes ne