EXPLICATION LINEAIRE « LETTRE À LA JEUNESSE »Introduction :À la fin du XIXe siècle, l’affaire, Dreyfus éclate un militaire haut gradé de confession judaïque, se retrouve accusé pour trahison, puis dégradé et exclu de l’armée avec une peine de prison. Émile Zola veut la justice pour Dreyfus ou il se sert de son métier de journaliste en rédigeant l’article, j’accuse où il prend la défense du capitaine. Elle se caractérise tout comme la lettre à la jeunesse par le système de la lettre ouverte. J’accuse …afficher plus de contenu…

Cela donne du rythme.Les expressions "jeunes gens" et "étudiants" sont répétées à de nombreuses reprises.Par l'emploi de l'impératif, Zola est l'aîné qui conseille les jeunes : "songe"(l.1), "Souviens-toi"(l.15), "Remercie"(l.20), "Sois humaine, sois généreuse", "sois avec nous"(l.31-32).Il l'use également en défense : "ne commets pas le crime"(l.20).On observe plusieurs questions rhétoriques : "Qui donc si ce n'est toi"(l.38)Certains passages sont au conditionnel : "si l'idée de justice s'obscurcissait en toi, tu irais à tous les périls."(l.23-24)La jeunesse est idéalisée, Zola en fait un portrait valorisant, il faut que la jeunesse ait envie de lire la …afficher plus de contenu…

Tout ce travail n'a qu'un but : atteindre la justice « Nous allons à l’humanité à la vérité, à la justice !»(l.44). Zola rappelle les droits dont jouit la jeunesse grâce à sa génération : la liberté d'expression, la liberté de la presse, la liberté de déplacement.Il évoque quel difficile combat ce fut pour acquérir ces droits en employant le champ lexical du combat avec "batailles"(l.16), "vaincre"(l.16), "conquérir"(l.16), "leur sang"(l.19-20).Zola met en garde la jeunesse contre la dictature : "si"(l.23), "ne commets pas"(l.20).3ème mouvement :L'auteur met en opposition le passé le présent, mais également l'avenir.