« La femme parfaite est une connasse » d’Anne-sophie Girard & Marie-Aldine Girard

Résumé/Présentation :
Visuellement, ce livre nous attire l’œil et non pas seulement par sa couverture, ma aussi par sa quatri-4ème de couverture qui est recouverte de rouge. Il a l’avantage d’être très fin et donc de ne pas freiner certains et certaines à le feuilleter et c’est pour ça moi-même que je l’ai pris, par curiosité.
Le titre est fort et sans appel : « La femme parfaite est une connasse ». Le mot est mis comme en surbrillance, en rouge. (Rappelant la couleur principale de la quatrième). Cependant, le mot grossier se situant dans le titre, peut aussi attirer comme refreiner. La tranche n’a pas été laissée de côté. (Sens du détail ?) Le mot « connasse » apparait aussi en avant, en blanc, et donc dans tous les sens de ce livre attirera l’œil des lecteurs curieux. Dès la quatrième de couverture, l’on se doute que rien n’est tabou avec les auteures et l’autodérision est leur point fort. Elles nous permettent de décomplexer avec humour en nous rappelant malgré tout que personne n’est parfait.
Ce livre est avant tout le guide pour toutes les femmes imparfaites. Vous y découvrirez notamment des théories comme "la jurisprudence de la frange", "la théorie du pot de cacahuètes" ou encore le concept universel du "foutu pour foutu", mais vous apprendrez aussi "comment garder sa dignité quand on est complètement bourrée", "comment réagir devant un bébé laid", ou "les questions qu'il ne faut pas poser à un homme si on ne veut pas entendre les réponses", des choses vraiment insolites et amenées avec humour comme si l’on était en compagnie de nos copines.
Ce livre est peu conventionnel, il ne raconte pas réellement d’histoire d’un début à la fin avec un narrateur ou des personnes précises. Il s’agit d’un constat voir même une réflexion sur la vie et les expériences des femmes dans le monde d’aujourd’hui. Les auteures ne mettent pas de distance entre leurs lecteurs et (surtout ?)