Fable
Le Renard et la Cigogne est la dix-huitième fable du livre I. Cette fable raconte l’histoire d’une opposition entre deux personnages, le Renard et la Cigogne. Dans celle-ci, la Cigogne reçoit une invitation du Renard pour aller diner chez lui, mais celui-ci lui à préparer un repas que la Cigogne ne peut manger car à cause de son grand bec il lui est impossible d’en attraper une miette. Pour se venger la Cigogne prie le Renard de bien vouloir à son tour venir manger chez elle, le jour venu elle lui sert de la viande coupée en petits morceaux et servie dans un vase à long col de sorte à ce que le Renard ne puisse pas en manger à cause de son large museau. Ce jeu est assez étrange car la Cigogne devient Renard pour que le Renard ne soit plus Renard dans le sens ou ce qu’il fait est mal. La morale est que si l’on trompe quelqu’un on aura un jour ou l’autre une revanche du trompé. La Fontaine nous le dit en citant : « Trompeurs, c’est pour vous que j’écris : Attendez-vous à la pareille ».
Ce texte est divisé en trois parties, tout d’abord, dans la première partie, La Fontaine présente la scène où le Renard invite la Cigogne chez lui et sa façon de la tromper ensuite, dans la seconde partie, on assiste à la revanche de la Cigogne puis dans la troisième partie on peut trouver la moralité de cela. Pour que l’on puisse trouver et comprendre l’opposition des personnages, La Fontaine à employé un vocabulaire spécifique, par rapport au Renard, La Fontaine utilise des adjectifs, adverbes et expressions qui portent sur le thème de l’avarice et l’égoïsme du Renard ! Par exemple le repas du Renard qui est « petit » et « sans beaucoup d’apprêts ». On dit de lui que c’est un personnage « galand », « drôle » et qui vit « chichement » c'est-à-dire pauvrement (A cause de son avarice).
La Cigogne quant à elle nous paraît être une bonne personne car on nous la décrit comme une hôte serviable : « politesse », « le diner cuit à point »