Fatalité dans Phèdre de RacineREDACTEUR :MEMBLES DU GROUPE:CHRISTUS NENE DIOUM SOW LINGERE NIANG CHRISTUSTable des matières INTRODUCTON..............................................................................1. LES PERSONNAGES DE LA FATALITE..............................................a. Phèdre...............................................................................b. Oenone................................................................................c. …afficher plus de contenu…

LA PEUR………………………………………………………………………………………..A.4. L’INJUSTE……………………………………………………………………………………3. CONCLUSION………………………………………………………………………Salut tout le monde, c’est le groupe qui est chargé d’exposer sur la fatalité de Phèdre de Jean Racine. Pour la première partie, nous allons vous présenter les personnages de la fatalité. Et en deuxième partie la fatalité elle-même.INTRODUCTION La fatalité est le caractère de ce qui inéluctable, qui ne peut être évité; à quoi on ne peut se soustraire. Phèdre de Jean RACINE est un roman fondé sur la tragédie seulement. Il tire la majeure partie de ses personnages à partir des mythes grecs comme Neptune, le roi Minos, le Minotaure vénus. Surtout le roman montre le désespoir de Phèdre, de la royauté suicidaire d’Oenone envers Phèdre, des trahisons de Phèdre envers son époux …afficher plus de contenu…

LA FATALITE DANS PHEDRELa fatalité dans Phèdre est l’amour incestueux de Phèdre pour son fils. Phèdre a longtemps caché son amour Hippolyte peur d’être une honte à son égal. Apres la nouvelle du décès de son époux, elle s’est caché loin de la lumière du soleil, elle voulait être dans l’omble en la lumière de la mort. Pendant ce temps, Hippolyte sorte avec la personne qu’il aimé Aricie. Certes, elle est du côté ennemie, mais tous les deux s’aimaient. Oenone a essayé plusieurs fois de sortir Phèdre de son désespoir, mais Phèdre l’a repoussé. Mais Phèdre ne pouvait pas résister plus longtemps ses sentiments. Phèdre aimé Hippolyte pas comme son fils, mais comme un homme a part qu’il ressemble a son père Thésée, elle aimé tout de lui. Hélas, le jour où elle avouait son amour à celui qu’elle aime ce dernier était à la fois abasourdi, surpris, dégouté de ses aveux. Phèdre n’avait plus le courage de se montrer devant son fils dégoûter,