I – Faut-il craindre le progrès ?
Le progrès est synonyme de changement et en tant que tel, il peut effrayer, angoisser. Pourtant, les nouvelles technologies ont permis de nombreuses avancées que ce soit sur le plan médical, en améliorant la qualité de vie (on vit en meilleure santé, plus longtemps) ; sur le plan professionnel où les nouveaux équipements en robotique rendent le travail moins pénible, ou sur le plan scientifique où les découvertes permettent au plus grand nombre de mieux comprendre le monde qui l’entoure.
Cependant, il faut se garder de faire une confiance aveugle dans le progrès, savoir conserver son esprit critique et veiller à ce qu’il soit utilisé intelligemment par nos décideurs.

En effet, les recherches médicales permettent de guérir des maladies qui étaient mortelles auparavant comme la pneumonie, la variole, la grippe… même le virus d’immunodéficience humaine (VIH) n’est plus mortel s’il est dépisté et traité précocement.
Sur le plan médical, le progrès permet de sauver des vies, d’améliorer la qualité de vie et de faire éclore la vie là où tout espoir était perdu (fécondation in vitro- mères porteuses)

En milieu professionnel, le progrès a apporté des améliorations conséquentes notamment pour le travail à la chaîne, activité aliénante et destructrice pour l’être humain, qui est maintenant assurée par la robotique et permet aux hommes de remplir des tâches plus épanouissantes et valorisantes. (cf. Germinal, E. Zola)

Enfin, l’accès multiple à la connaissance a été largement facilité par les nouvelles techniques de communications, telles qu’Internet. Chacun peut aisément, de nos jours, approfondir ses connaissances sur les sujets de son choix, comprendre les enjeux économiques et politiques qui mènent le monde, grâce aux nombreux médias ; découvrir des cultures et des civilisations différentes en voyageant plus facilement.

Pourtant, le progrès peut représenter un danger pour l’homme, qui doit conserver son esprit