Faut-il se priver des étrangers diplômés
FAUT-IL SE PRIVER DES ÉTRANGERS DIPLÔMÉS ?
Dans un premier paragraphe nous nous intéresserons aux étrangers diplômés au niveau politique, les nouvelles lois positives ou négatives à l'insertion de ces jeunes diplômés. Dans un second paragraphe nous étudierons l'attractivité du pays, les choix des employeurs, les risques pour les étrangers de ne pas réussir et leurs buts si ils réussissent.
Les six mois de tolérance au cours desquels les diplômés étrangers pouvait trouvé du travail avant que l'employeur ne soit forcé de chercher des candidats français ont été supprimés par la circulaire. De ce fait les étrangers ne sont accepté que dans les métiers dits « en tension »
Ensuite une politique de l'immigration est lancé par Nicolas Sarkozy visant à accueillir les immigrés utiles à l'économie française. Pour autant, le durcissement amené par la circulaire Guéant va pénaliser l'économie hexagonale car la France serait alors privé d'une main d'oeuvre conséquente de jeunes étrangers, ce qui entraînerait par la suite des effets négatifs sur les structures d'enseignement françaises. Ainsi on oublie le fait que ces jeunes généraient de l'activité et finançaient les retraites par le biais de leurs capacités et de leur consommation.
Après les rejets d'étudiants de Polytechnique ou d'HEC, le gouvernement a promis d'être attentif sur les dits « cas particuliers ». Malgré un régime « à la tête du client », les employeurs et/ou institutions témoignent plus d'importance aux 8000 diplômés étrangers en provenance de grandes écoles. Le risque serait que le reste de ces jeunes étrangers laissé pour compte soit ramené à la frontière ou poussé dans l'irrégularité. Les buts de ces jeunes sont de rembourser les frais, aider leur famille au pays mais surtout valider leur formation professionnelle avec un premier