femme colabo
D’autre femmes quant à elles sont tombes amoureuse. Elles ont donc eux des relations sexuelle, on vécut en ménage avec certain officiers ou bien encore on eu des enfants. On parle donc de collaboration horizontale.
Il existe aussi des femmes qui elle collaboré en étant espionne, délatrice par intérêt, par vengeance ou bien même par idéologie.
A la fin de la guerre, la plupart des femmes qui ont collaboré, on était punies.
Environ 6000 femmes sont incarcérées à la prison de Fresnes en 1946 pour collaboration. Elles sont généralement condamnées aux travaux forces ou bien même encore à la peine de mort.
Celle qui ne sont pas condamnées, ont les cheveux tondues. On les appelle les femmes tondues. Le plus souvent, on choisit un lieu public symbolique : la place de la mairie, du marché. Dans tous les cas, la tonte s'accompagne d'une exhibition, la tondue est promenée en cortège à travers la ville ou le village : la population, dans sa grande majorité, y assiste et approuve le châtiment. Tout au long du châtiment, la foule invective et insulte la tondue ; celle-ci peut être plus ou moins déshabillée, voire totalement dénudée ; son corps reçoit dans certains cas des croix gammées à la peinture, au goudron ou au rouge à lèvres. En France, on a compté environ 20 000 tondues.
Malheureusement parmi ces femmes tondues, on peut trouver des injustices. On peut notamment citer des jeunes institutrices, dont le logement de fonction touchait au logement attribues aux soldats allemands. Ce qui a permis l’établissement de relations jugées sévèrement.