La problematique et le questionnement du l’article est de savoir si il a une frontiere étanche entre les mouvement sociaux et les partis politiques. La these qui sera defendu par les auteurs est que « dans certaines configurations de mouvements sociaux, les partis politiques peuvent faire partie intégrante du mouvement social dont ils sont issus et en constituent meme les acteurs pivots. » (p.39)

Tout d’abord Donatelle della Porta et Mario Diani définissent « les mouvements sociaux comme des réseaux informels d’acteurs collectifs et individuels basés sur des croyances partagées et des pratiques de solidarité, qui se mobilisent sur des sujets conflictuels à partir de diverses formes de protestation, sur une base relativement fréquente. » (p.37) Depuis 1990, l’integration politique aux mouvement sociaux permet a ces mouvements de se mobiliser sur plusiquers aspects. Certains de ces aspects sont de nature ecologique, d’autre traite de feminisme, de nationalisme et souverainisme. Souvent des partis politiques naisse a la suite de telle mouvement sociaux. Le parti quebecois par exemple c’est senti interpele par le souverainisme du Quebec alors il a decide d’inclure et d’etre un acteur important dans se mouvement social.

Les souverainistes ne considere pas l’État fédéral comme le leur. Seulement l’État quebecois represent les souverainistes, car represente leur identité. Quand le PQ prend le pouvoir il offre un air nouveau, car il permet a gouvernement de faire voir les idées de souveraineté soutenu par les mouvements sociaux qui le veulent. Le PQ transmet indirectement sa doctrine face a divers intitutions provinciales qui ont integrés un discours nationaliste.

L’article est composé d’une these qui n’est pas adpater pour les changements dans le temps. Les auteurs defende le fait que les partis politique ont une grande place a jouer dans les mouvements sociaux et cette frontiere est interchangeable. Dès qu’un parti s’intutionalise il ne peut plus etre